Un SAINDOUX comme on l’aime et surtout
NON HYDROGENE
Au cours des 50 dernières années, les margarines hydrogénées (gras trans) ont progressivement remplacé le beurre, le saindoux (provenant du gras de porc), le suif (provenant du boeuf et du mouton) ou les graisses d’oie et de canard.
Explications :
Afin de donner plus de consistance aux huiles insaturées et pour en prolonger la conservation, on a inventé l’hydrogénation, un procédé industriel qui modifie la configuration des molécules d’acides gras insaturés. On obtient ainsi des gras trans qui permettent de confectionner, à partir d’huiles végétales insaturées (le plus souvent de soja, de maïs), des margarines plus ou moins solides à la température ambiante qui peuvent tolérer de hautes températures de cuisson. De plus, ces produits ont une longue durée de conservation.
En fait, les gras trans sont pour ainsi dire omniprésents dans les aliments transformés en leur conférant cette sensation de « fondre dans la bouche ».
Cet engouement pour les gras trans tient en grande partie à la mauvaise presse qu’on a faite aux gras saturés. En les remplaçant par des huiles insaturées hydrogénées, on a cru diminuer l’incidence des maladies cardiovasculaires qui ne cesse de croître dans les populations des sociétés postindustrielles.
En dehors de ces motifs sanitaires, d’autres raisons ont conduit à adopter l’hydrogénation à grande échelle des huiles insaturées. Des motifs purement industriels et économiques.
En fait, les gras trans sont pour ainsi dire omniprésents dans les aliments transformés en leur conférant cette sensation de « fondre dans la bouche ».
Cet engouement pour les gras trans tient en grande partie à la mauvaise presse qu’on a faite aux gras saturés. En les remplaçant par des huiles insaturées hydrogénées, on a cru diminuer l’incidence des maladies cardiovasculaires qui ne cesse de croître dans les populations des sociétés postindustrielles.
En dehors de ces motifs sanitaires, d’autres raisons ont conduit à adopter l’hydrogénation à grande échelle des huiles insaturées. Des motifs purement industriels et économiques.
Que reproche-t-on aux gras trans?
Tant qu’on s’en tenait aux gras trans naturels, qui ne se retrouvent qu’en petites quantités dans la nature, les risques pour la santé étaient pratiquement inexistants. Mais l’omniprésence des gras trans synthétiques dans les produits alimentaires transformés ont de quoi inquiéter les autorités sanitaires.
Tout comme les gras saturés, les gras trans font augmenter le « mauvais cholestérol » tout en abaissant les taux du« bon cholestérol ». Cela a pour effet d’augmenter significativement le risque de souffrir de troubles cardiovasculaires. Selon les résultats d’une étude publiée en 2007, les gras trans pourraient faire augmenter ce risque de l’ordre de 132 % en comparaison de 32 % pour les gras saturés.
Rien n’empêche donc de renouer avec les traditions ancestrales !
Une tranche de pain de seigle, du smalec et un soupçon de sel !!! Et soudain, les souvenirs vous envahissent
Tout comme les gras saturés, les gras trans font augmenter le « mauvais cholestérol » tout en abaissant les taux du« bon cholestérol ». Cela a pour effet d’augmenter significativement le risque de souffrir de troubles cardiovasculaires. Selon les résultats d’une étude publiée en 2007, les gras trans pourraient faire augmenter ce risque de l’ordre de 132 % en comparaison de 32 % pour les gras saturés.
Rien n’empêche donc de renouer avec les traditions ancestrales !
Une tranche de pain de seigle, du smalec et un soupçon de sel !!! Et soudain, les souvenirs vous envahissent